Le doctorant débutant démarre le plus souvent son travail de recherche par une phase d'étude de l'état de l'art passant par une longue étude bibliographique portant sur son sujet de thèse. Cette phase consiste à accumuler une grande quantité de documents, à en prendre connaissance, à en juger de l'intérêt, à en réaliser des résumés synthétiques, à en identifier la provenance, à faire référence des documents les plus pertinents dans les différents travaux qu'il aura à rédiger : mémoire de thèse, articles, etc.
Chaque doctorant est confronté au même travail et pourtant chacun s'organise à sa façon (système D) par méconnaissance des outils destinés spécifiquement à ce travail qui pourraient grandement lui faciliter la vie. C'est la raison pour laquelle, Dopamines vous propose aujourd'hui la réalisation d'une petite revue des principaux outils disponibles.
Si tu utilises régulièrement un logiciel qui n'a pas encore été décrit et commenté sur cette page, toute la communauté doctorante te serait reconnaissante si tu rédigeais une petite notice pour ce logiciel (sur le modèle ci-dessous). Ensuite, fait le parvenir au bureau de Dopamines qui s'occupera de la mise en ligne.
Testé pour vous par François Poulain (CAS)
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Je viens d'essayer “referencer”, ce truc à vraiment l'air assez merveilleux. En 5 minutes à peine, je me suis fait plaisir…Je viens de finir de rentrer tous mes documents (une centaine), et j'en suis très content ! Il est efficace, rapide, et très stable : je n'ai eu aucun plantage. J'ai passé les 3/4 du temps à remplir les champs, car je n'avais pas d'entrée BibTeX déjà remplie. Heureusement, certains éditeurs (ieee et siam) permettent de télécharger les citations BibTeX en ligne.
Testé pour vous par Anthony Benoist (CEP)
La forme très simple de l'outil (une table de base de données) ne permet pas d'accéder à des fonctionnalités très poussées. L'intérêt essentiel de cet outil est d'avoir un lien immédiat entre les références bibliographiques et le logiciel de traitement de texte OpenOffice Writer, ce qui permet très facilement d'insérer une nouvelle référence, créer un index, etc. Et tout ça de façon très paramétrable, ce qui permet d'avoir facilement la forme souhaitée. Et l'outil a les défauts de ses avantages : la spécificité d'utilisation (OpenOffice) et la simplicité. Cependant, sa forme simple permet à l'utilisateur de créer sa propre base de données de gestion des références bibliographiques, et, avec un minimum de connaissances cependant, de la coupler avec la base intégrée à OpenOffice pour en exploiter les avantages. Ceci en attendant que la communauté OpenOffice ne propose ce genre de base de gestion bien entendu ;) …En conclusion, cet outil de bibliographie ne peut être réellement l'objet d'un “choix” : le choix concerne plutôt l'outil de bureautique. Ainsi, si vous utilisez ou comptez utiliser OpenOffice, il est bon de savoir que cet outil existe et est présent de façon complètement transparente au sein du logiciel ; si vous n'utilisez pas OpenOffice, l'outil n'aura jamais le moindre intérêt pour vous.
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Testé pour vous par Guillaume Marion (MAT)
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Il existe presque autant de conventions que d'université et de revues. Là dedans, le chercheur et le doctorant doivent trouver celle qui lui conviendra le mieux.